La guerre en Ukraine, l’objectif du plein-emploi, réforme des retraites… Le président de la République lance son second quinquennat.

C’était un rendez-vous important. Après une année marquée par les élections présidentielle et législatives, la guerre en Ukraine, la menace d’une reprise épidémique, l’entourage d’Emmanuel Macron a estimé qu’il était temps de lancer ce second quinquennat en s’adressant aux Français. Pour la deuxième fois depuis son élection, le chef de l’État a donné un entretien télévisé le 14 juillet à TF1 et France 2, après avoir assisté au défilé militaire sur les Champs-Élysées.

  • «Il faut nous préparer» à ce que la guerre en Ukraine dure

Face au retour de la guerre aux portes de l’Europe, Emmanuel Macron annonce que «cette guerre va durer mais la France sera toujours en situation d’aider l’Ukraine, sur le plan humanitaire, économique et politique». Le chef de l’État rappelle cependant que la France cherche à empêcher «l’extension géographique à d’autres parties prenantes de cette guerre». Ne pouvant pas entrer directement en conflit direct avec la Russie, une autre puissance qui dispose de la dissuasion nucléaire, le chef de l’État affirme que «la seule chose à faire, c’est aider l’Ukraine et sanctionner l’économie russe».

  • Le budget de l’armée «ne va pas diminuer, au contraire»

Après avoir évoqué la guerre en Ukraine, la menace des cyberattaques, la zone maritime qui «redevient une zone de conflictualité» ainsi que l’espace, le chef de l’État assure que le budget de l’armée «ne va pas diminuer, au contraire». Avec le retour de la «guerre de haute intensité», Emmanuel Macron estime qu’«on a besoin de vérifier qu’on a des stocks» pour y faire face. «On va consolider l’effort fait depuis 2018, l’intensifier, produire plus vite, plus fort, des capacités d’armement, en plus grande masse et plus rapidement».

  • Se passer du gaz russe : un scénario auquel il faut «se préparer»

«La Russie envoie un message clair», a déclaré le chef de l’État. «Elle utilisera le gaz comme un élément de cette guerre.» Ainsi, a-t-il poursuivi, «nous sommes dans une guerre hybride». La Russie, estime Emmanuel Macron «utilise l’énergie comme une arme de guerre». «Nous devons nous préparer à un scénario où il nous faut passer en totalité du gaz russe.» Et d’ajouter, en se voulant rassurant : «La France, grâce à son modèle énergétique, est peu dépendante du gaz russe. Mais nous diversifions pour aller chercher du gaz ailleurs. Nous sécurisons des apports, notamment de la Norvège, du Qatar, de l’Algérie, des États-Unis. Nous sommes en train de reconstituer nos stocks.»

  • Face à «l’urgence» climatique, l’annonce d’un plan de «sobriété énergétique»

Alors que de grands incendies ont décimé le sud de la France ces derniers jours, Emmanuel Macron estime que face aux changements climatiques, il faut «accélérer la réponse». Pour lui, le modèle énergétique français, basé sur le nucléaire, «est une chance». Le chef de l’État rappelle que l’atome est «une solution durable». La première chose à faire pour lutter contre le dérèglement climatique serait en priorité plus de «sobriété».

Soulignant des «gaspillages» dans l’éclairage ou la consommation de certains bâtiments publics, le président annonce également, pour pallier les pics de consommation d’énergie, que le gouvernement «va essayer de favoriser un lissage de l’utilisation de notre électricité». Emmanuel Macron a ainsi dit vouloir «réformer le marché européen de l’électricité». «Nous avons besoin d’un marché européen. Aujourd’hui, nous achetons l’électricité car nous n’en produisons pas assez sur notre sol», regrette le président de la République. Et d’ajouter : «On a besoin de l’Europe. Mais le prix de l’électricité est mal fichu en Europe, il est très dépendant du gaz qu’on importe. On va négocier, en Européens, un changement du prix de l’électricité.»

Tandis que les prix de l’essence et du gasoil augmentent, Emmanuel Macron a annoncé vouloir «aller vers des mécanismes qui vont cibler les gens qui en ont le plus besoin». Et d’ajouter : «Sur l’essence, on va avec les employeurs, faire en sorte que ceux qui ont besoin de beaucoup utiliser leur voiture soient mieux accompagnés.»

  • Le «plein emploi» au «cœur de la bataille» des prochaines années

Rappelant qu’«il n’y a pas de modèle social s’il n’y a pas du travail pour le financer», Emmanuel Macron voit dans la réforme du travail «le cœur de la réponse» notamment pour «accélérer la transition énergétique». Prévoyant dès la fin de l’été un texte de loi sur la réforme du travail, le président annonce une série de réformes dans le quinquennat à venir, autour de trois axes : la réforme du lycée professionnel, le renforcement de l’apprentissage et la formation continue tout au long de la vie. Le président est également revenu sur sa proposition de réformer le RSA, en estimant que les bénéficiaires de cette aide «doivent s’engager» et souhaite «que la nation mette tous les moyens pour aider et que les personnes (bénéficiaires du RSA) prennent leurs responsabilités».

  • A propos des «Uber files», Emmanuel Macron persiste et signe

Interrogé sur ses liens privilégiés avec la société américaine Uber alors qu’il était ministre de l’Économie, comme l’a révélé une enquête du Monde, le président de la République persiste, signe et resigne : «Des milliers de jeunes venant de quartiers difficiles à qui on ne donnait même pas de réponse à leur CV qui ont été embauchés par les VTC», s’est-il défendu. «Je dois dire que je le regrette ? Jamais. Et je le referais demain. On a ouvert des milliers d’emplois et des solutions. Ensuite, on a régulé.» Et de préciser : «Je n’ai pas du tout aidé Uber spécifiquement. Je n’ai pas un tempérament à être sous influence.» À propos de la place des lobbies dans la fabrique de la loi, Emmanuel Macron a fait référence à la loi de Michel Sapin en 2016 sur la transparence du travail de législation. «Mais ne confondons pas tout», a-t-il insisté, considérant que les plateformes VTC «sont des entreprises, pas des lobbies.»

  • «Nous devons travailler plus et plus longtemps», tranche Emmanuel Macron

Sur l’épineux sujet de la réforme des retraites, Emmanuel Macron rappelle son objectif de «progressivement décaler l’âge de départ légal obligatoire jusqu’à 65 ans», mais en en ayant comme horizon «le début des années 2030», ce qui reviendrait à décaler «de quatre mois par an» l’âge de départ à la retraite, pour atteindre «moins de deux ans d’ici la fin du quinquennat». Le président annonce que «la discussion sur ce sujet va commencer à la rentrée» avec les partenaires sociaux. Rappelant que la France a «un des modèles sociaux les plus généreux d’Europe», Emmanuel Macron considère qu’il n’existe que trois manières de le financer : l’impôt, la dette ou la création de richesses. C’est ce dernier point, par l’allongement du temps de travail et donc la réforme des retraites, qui est selon lui la «meilleure façon de faire».

  • Macron évoque le référendum, un «outil» en cas de blocage parlementaire

«Les Français m’ont accordé leur confiance et l’ont accordé aux députés par une majorité relative. Qu’est-ce qu’ils nous ont dit ? On veut que vous travailliez ensemble. La responsabilité de la majorité, du gouvernement, des forces d’opposition, c’est de trouver des compromis. Vous allez voir qu’on va pouvoir avancer», assure Emmanuel Macron. Toutefois, même si «nous sommes de ce que les constitutionalistes appellent un parlementarisme rationalisé, il y a des possibilités pour l’exécutif d’avancer s’il y a blocage : j’ai des outils pour aller devant les Français, leur proposer des mesures» prévient Emmanuel Macron, qui évoque notamment le référendum.

  • Avec l’Assemblée nationale, «travailler en écoutant plus les oppositions» et dans «l’intelligence collective»

Dans la nuit de mardi à mercredi, les oppositions à l’Assemblée nationale ont mis en échec le gouvernement, en votant des amendements qui limitent la possibilité d’un passe sanitaire aux frontières. Aux voix de LFI et du RN se sont rajoutées celles de certains députés LR, qui selon le président «auront du mal à expliquer devant leurs électeurs ce qu’ils ont fait». Pour Emmanuel Macron, ce «coup de chaud nocturne» n’empêchera pas que le texte de loi soit modifié, et espère que c’est la «responsabilité collective qui prévaudra». Le chef de l’État précise qu’il n’y a «de majorité contre le gouvernement qu’avec cet attelage baroque de femmes et d’hommes qui se combattent complètement». Affirmant vouloir «bâtir des compromis» et «travailler en écoutant plus les oppositions», le président martèle que «la responsabilité du gouvernement, de la majorité parlementaire, de toutes les forces d’opposition c’est de savoir trouver, dans la cohérence des projets de chacun, des compromis».

  • Un dernier quinquennat pour laisser «une trace dans l’Histoire»

Chacun le sait, Emmanuel Macron ne pourra pas se représenter dans cinq ans. «Cela me pousse à être plus exigeant avec moi-même : c’est-à-dire, à penser à la nation, à la trace laissée dans l’Histoire et au pays avant tout.» Une «responsabilité», a-t-il insisté, qu’il «sent depuis le premier jour». À propos de la comparaison à Jupiter que lui prêtent nombre de ses adversaires, le président de la République a rétorqué, non sans sourire : «Je n’ai jamais revendiqué cette comparaison mythologique. Si certains avaient voulu me voir comme tel, c’est plus Vulcain, c’est-à-dire à la forge.»

  • Le pic de l’épidémie Covid-19 est «en train d’être passé»

«Le pic est en train d’être passé sur cette septième vague», assure le chef de l’État. «On a bien fait collectivement», a-t-il poursuivi en évoquant l’importance de la vaccination des Français, avant d’annoncer que le gouvernement prépare à la rentrée une campagne de rappel «pour nos aînés» et «les plus fragiles».

Claire Conruyt et Jean Cittone

Le Figaro

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Macron veut rester Jupiter , il n’a rien compris ,il ne veut rien comprendre aux résultats des législatives : les français et françaises ne veulent plus de sa politique de casse ,ils ne veulent pas qu’il fasse la meme politique que lors de son premier mandat ,les français et françaises ,majoritairement ,ne veulent pas de sa réforme des retraites ,les syndicats , même les syndicats dit progressistes , ne veulent pas non plus de sa réforme des retraites

Macron ne veut toujours pas s’intéresser aux français et françaises : classes ouvrières ,classes moyennes ,les retraités (es) …..il ,Macron ) préfère s’intéresser aux riches ,au cac 40

Macron a en fait passé son temps à occulter ce qui a fait l’échec de son calamiteux 1er quinquennat:
● la repentance qui malmène l’Histoire de France et veut la déconstruire
● la négation de la culture française
● la hausse de l’insécurité
● l’abandon des quartiers
● le laxisme judiciaire , comme vers certains de ses amis
● le déni du délitement de la société
● l’affaiblissement de nos armées
● l’immigration non-maîtrisée
● les frontières non-contrôlées
● la soumission à l’UE
● le mépris des souverainetés nationales
● la discrimination positive qui nivelle par le bas
● la faillite de l’école, de l’enseignement supérieur et de la recherche
● la désindustrialisation
● le grave déficit de la balance commerciale
● le sabordage du nucléaire
● la prolifération d’éoliennes inefficaces nous asservissant au gaz russe
● la faillite de l’hôpital
● l’agitation réformatrice empilant les mesurettes sans rien régler
● la réforme nécessaire des retraites que ne veulent pas les français et françaises
● la gestion autoritaire de la crise du Covid au mépris des Libertés publiques
● l’endettement galopant (120% du PIB) qui obère l’avenir de nos enfants
● l’exercice jupitérien du pouvoir, qui glorifie le chef et dédaigne le Parlement et les citoyens et citoyennes

Les propos méprisants de Macron à l’encontre des députés LR ,de la FI, de la Nupes qui ont voté contre le rétablissement du pass sanitaire aux frontières, et invitant les sénateurs à la responsabilité, sont totalement irresponsables

Macron commet une grave erreur d’analyse, en vérité volontaire car il est intelligent, en affirmant que les Français lui auraient renouvelé leur confiance en le réélisant Président de la République le 24 avril, et qu’ils
l’auraient fait sur le fondement d’un projet clair, et en lui donnant une légitimité claire.
En cherchant à se légitimer, il montre en fait qu’il n’a pas compris, ou plus exactement ne veut pas comprendre, le résultat du vote, et surtout ne veut pas en tirer les conséquences.
Sa légitimité est fortement fragilisée.
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Les Français ne lui ont pas renouvelé leur confiance, et n’ont en rien plébiscité ni même validé son projet, en vérité très flou et creux.
Ils l’ont juste préféré à MLP pour faire barrage au RN, ce qui est radicalement différent.
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Sa réélection n’est pas un vote de confiance et encore moins d’adhésion. Bien au contraire, et c’est bien la leçons des législatives: les Français ont clairement refusé de donner les pleins pouvoirs et un blanc-seing à la Macronie, dont les candidats n’ont rassemblé que 12% des inscrits.
Autrement dit, 88% n’adhèrent pas au projet de Macron.
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Et pour rappel, Macron n’avait rassemblé au 1er tour de la présidentielle que 20% des inscrits, et 38% au 2d tour.
Certes, c’est mieux que ses opposants, mais cela pose néanmoins un grave problème de légitimité : le 1er parti de France reste l’abstention, témoignant de la décrédibilisation croissante du système politique et de ses acteurs, jusqu’au plus haut niveau de l’état.

Il faut qu’il accepte le verdict de assemblée qui récemment lui a fait comprendre qu’il n’avait plus tous les pouvoirs. Alors sa réaction est d’essayer de contourner les chambres par le Sénat à ses besoins. A force de provoquer il va amener une motion de censure et peut être une réaction plus sévère. Quand les français vont se rendre compte de l’Impact de sa prise de position sur la guerre économique et en ressentiront les effets

Le principal à retenir : c’est qu’il n’a toujours pas compris l’exécration qu’il suscite en raison de son mépris, de son narcissisme, de sa suffisance et de son arrogance !
Et qu’à force, ça pourrait mal finir..en faisant descendre les français et françaises dans la rue

Le macronisme c’est la promotion d’une société «liquide», dont le concept provient du philosophe Zygmunt Bauman.
Marxiste hétérodoxe il développe l’idée que, dans notre environnement post-moderne, les structures autrefois établies (Nation, loi, frontière, école, famille…) sont devenues précaires, au nom d’injonctions à la «modernité», la «flexibilité», l’«agilité».
L’économie est reine, les valeurs sont relatives et l’adaptation est impérative.
La «liquidité» investit tous les domaines: de l’éducation au marché en passant par les rapports humains.
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Il existe des parallèles saisissants entre la société liquide dénoncée par Bauman et celle promue par Macron:
● Le refus de l’héritage et de la transmission, sur le plan du patrimoine, de la culture comme de l’éducation.
● Le déni de la culture française.
● Le reniement de sa famille d’origine, pour s’en choisir une «en kit» (sur le plan personnel comme politique).
● La promotion du «devoir d’oublier» (cf discours à Science Po en 2015)
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La «liquidité» de Macron se décline partout, au travers de:
● Son fonctionnement «adaptatif» qui le pousse à trahir par «nécessité»
● Son parti En Marche, injonction au mouvement et à la fluidité sans prise.
● Son «en même temps» qui l’empêche de prendre parti.
● Sa hantise de la «société bloquée» qui le pousse à tout fluidifier.
● Sa promotion de la «start-up nation» fonctionnant par projets.
● Son obsession à favoriser les flux, humains et financiers.
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En face, la NUPES incarne en fait la solidité.

Dites les journalistes
Des vidéos circulent….des huées lors du passage de Macron au défilé du 14 juillet.
Et des cris Macron démission.
Alors ?

Le plan gouvernemental pour le pouvoir d’achat relève en fait de l’arnaque.
Sous couvert d’agir pour le pouvoir d’achat, le gouvernement est en vérité en train de nous tondre discrètement par l’impôt.
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Car la particularité de la situation inflationniste que nous connaissons est que les recettes publiques rentrent à plein régime, car très dépendantes de l’évolution du PIB, lequel est en fait dopé par l’inflation:
●+11% de recettes sur l’IR ●+37% sur l’IS
●+14% sur la TVA.
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Par ailleurs, plusieurs mesures sur les minimas sociaux sont présentées par le gouvernement comme discrétionnaires, et relevant d’un choix politique, alors qu’elles sont en fait automatiques.
En effet, les retraites de base sont forcément indexées sur l’inflation, de même que les minimas sociaux.
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En définitive, le gouvernement ne fait qu’avancer de quelques mois (fin 2022 au lieu de début 2023) ces mesures automatiques, et de rendre un peu d’une main ce que Bercy ponctionne à pleines poignées de l’autre.

Pour rappel aux médias qui relaient la doxa macroniste:
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1) La France ne pèse qu’1% des émissions de CO2 (merci le nucléaire) et l’UE 10%.
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2) Les ENR sont intermittentes donc peu efficaces et non-pilotables:
● Elles sont incapables de fournir un approvisionnement adapté, fiable, abondant et bon marché dont nous avons besoin.
● Elles imposent de construire des centrales thermiques (charbon/fioul/gaz) pour pallier l’intermittence, nous asservissant aux hydrocarbures russes (cf Allemagne).
La politique énergétique européenne, imposée par l’Allemagne, y compris à la France, est irresponsable et suicidaire.
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3) La transition vers les mobilités tout-électriques est un mirage dangereux:
● La production des batteries lithium est excessivement polluante (pollution en amont de l’utilisation)
● Elle nous rendra ultra-dépendants de la Chine.
● L’électrique restera inadapté pour les applications nécessitant puissance & autonomie importantes.
● Cette transition détruira des centaines de milliers d’emplois industriels, des millions à l’échelle de l’UE, sur l’ensemble de la filière, et les emplois créés dans la filière électrique seront très insuffisants pour compenser, car l’essentiel de la valeur ajoutée partira en Asie, notamment en Chine.
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4) La décarbonation de l’aviation est inenvisageable d’ici 50 ans:
● L’électrique est incapable de fournir la puissance nécessaire.
● L’hydrogène (liquide) est inutilisable dans des conditions de sécurité compatibles du transport aérien civil.

Macron a toujours pris les français, gens de rien , pour des débiles.

Macron est le plus mauvais Président de la Vème République

Macron ment comme un arracher de dent, où est totalement amnésique.

En 2017 dans l’entre deux tours, il déclarait à Challenges que « La France a besoin d’un chef de l’État « jupitérien ».
I l ne s’en souvient pas ? Ce surnom n’est pas tombé du ciel ! C’est bien lui qui l’a mis en avant, comme « vulcain ». Se souviendra-t-il demain qu’il a prononcé le mot ?

Ne se souvient-il déjà plus qu’il n’a pas convaincu la français sur son « programme », mais les a poussé à voter « contre » MLP pour défendre la République.
Sacré nuance, qui en ont fait voter plus d’un pour lui à contre coeur…
Mais il s’imagine que les français l’ont approuvé. Amnésie ou mauvaise foi colossale ?
Et Macron le 14 juillet, ne se souvenait plus que « l’heure du bilan » s’était durant la campagne présidentielle en avril et pas le 14 juillet. Il a décidé de ne pas paraître dans les émissions débats devant les français, « d’enjamber » les campagnes pour ne pas avoir à parler de son bilan, notamment en matière de sécurité et d’immigration. Sujet absents hier encore. Il « enjambe » toujours…
Alors amnésie volontaire ou duplicité ?

Sauf que la réalité l’a rattrapée aux législatives…
Il a entendu : « faites des compromis ». Mais il n’a pas étendu, « mécontentement », « perte de confiance ». Pour lui « compromis » signifie que LR , la NUPES doivent se rallier à lui !
Le pathétique changement de nom de son parti n’y changer rien…
« Renaissance » ! Quelle renaissance en composant un gouvernement identique à ce qu’il était ?

Pensez que notre Jupiter/vulcain en est réduit à penser au referendum !
Le rapport de force n’est plus en sa faveur Mrs et Mmes les journalistes
Certes il a les armes de la Constitution, mais dans son cas ce sont des glaives à double tranchant :
article 49. 3 : il risque les Gilets Jaunes en passant « en force »,
dissoudre : vu tous les mécontentements, pas sûr que sa majorité sorte renforcée,
referendum : plus que périlleux !

On a vu le 14 juillet un Président aux abois qui tente de donner le change difficilement.

On a vu le 14 juillet le plus mauvais Président de la Vème République

« Il l’avait annoncé dès le mois d’octobre dernier: Emmanuel Macron sera un chef de l’État « jupitérien ». Si la métaphore mythologique semble emphatique, elle a le mérite d’être porteuse de nombreux symboles. Décryptage. Après « l’hyperprésident » de Nicolas Sarkozy et la présidence « normale » de François Hollande, Emmanuel Macron souhaite incarner un président « jupitérien ». Il l’avait assuré dès le mois d’octobre 2016. La France a besoin d’un chef de l’État « jupitérien », déclarait-il dans un entretien à Challenges alors qu’il n’était encore que le candidat d’En Marche! le mouvement qu’il avait lui-même fondé quelques mois plus tôt. « Ce n’est pas un simple dieu, c’est le roi des dieux » Un président « jupitérien » serait donc un chef de l’État qui tient de Jupiter -le dieu romain qui gouverne la terre, le ciel et tous les autres dieux- et « en a le caractère impérieux, dominateur », précise le Larousse. » Sur bfm. Macron ment. Comme d’habitude :  »« Je n’ai jamais revendiqué cette figure mythologique de Jupiter. Si je devais choisir, ce serait plutôt Vulcain : à la forge, au travail. » » Il ment, il ment, il ment… Avec le soutient des journaux.

En FRANCE , un président élu avec 57,9 % des voix des 47 % de Fraçais qui ont voté est un président élu, certes, mais illégitime, qui n’a rien à faire là où il se trouve, et, de plus, les français ont confirmé leur rejet de ce sous-président, en lui mettant une baffe magistrale, deuxmois après son élection, en lui retirant la ‘ » » »majorité absolue » », lui laisssant une «  » majorité relative » », et on voit déjà qu’il devient totalement IMPUISSANT

En fait le projet est vraiment simple, déréguler le marché de l’emploi le plus possible, faire travailler les français le plus longtemps possible, précariser au maximum ces mêmes français afin d’augmenter les marges du capital pour au final augmenter les dividendes et en parallèle les investissements étrangers en vendant nos fleurons industriels pour des plus-values de court-terme, tout en faisant croire aux français que ces cessations d’actifs stratégiques sont synonymes de performance économique. Et si ça ne marche pas – c’est ou bien qu’on est pas aller assez loin dans la précarisation, ou bien que c’est la faute des français.

Quand on n’est pas urbain et qu’on traverse la rue, il n’y a rien… Où est cette réindustrialisation (infaisable sans source d’énergie)?

Quand LR, NUPES et RN sont d’accord, il faut creuser… nous ne savions pas que les DOM n’était pas la France ? Peut-être car ils ont voté massivement pour les oppositions ? donc en fait, le pass aux frontières n’incluant pas les DOM aurait été accepté mais on continue avec les méthodes jupitériennes, « acceptez mon texte sans le retoucher ou vous allez subir ma foudre, la dissolution ».

Jupiter / Vulcain et sa femme vont-ils eux aussi se priver ??? cela nous étonnerait !! il n’y a ,il n’ y aurait que les « gueux «  » qui doivent ,qui devraient se priver !!!

Macron et la macronie ne voient pas la colère qui gronde et septembre va sans doute être chaud.!!!!